La ville des Ulis a été contrainte par la préfecture d'accueillir un cirque mettant en scène des animaux [1]. Elle a fixé quelques règles du jeu, comme un contrôle vétérinaire récent, l'emplacement, etc...
L'année dernière, un cirque s'était installé illégalement sur un parking et les forces de l'ordre n'étaient pas intervenues [2]. Bref, les gens du cirques et le préfet se fichent de toute façon des volontés municipales et de la souffrance animale.
Les échanges assez vifs sur Twitter avec les représentants du cirque et les associations ont montré que la seule chose qui compte, c'est le nombre d'entrées, et qu'en gros, tant que des parents achèteront des billets, il y aura des cirques avec animaux.
Est-ce que des animations gratuites pour jeunes acrobates à proximité réduisent le nombre d'entrées au cirque ou au contraire, est-ce de la publicité ?
Ce dimanche 2 juin, j'ai compté une quarantaine de personnes faisant la queue à 15 heures pour acheter des billets. Il y avait plus de monde au parc nord pour observer les oies bernaches.
Leurs oisons grandissent rapidement !
Les chevaux me semblaient très maigres le 24 mai.
Le poney avait l'air fatigué.
Ce premier juin, le chameau semblait rassasié.
Les défenseurs des cirques avec animaux peuvent aussi mettre en avant l'efficacité de ces tondeuses naturelles...
Autoriser les cirques avec animaux dans l'objectif de s'en passer est-ce une solution ? Pour leur bien-être, le parc urbain est mieux que le parking du centre commercial Ulis 2. Petits et grands peuvent ainsi veiller sur leur bien-être. Tant que les cirques avec animaux sont autorisé, autant leur fournir un peu d'herbe fraîche. Les animaux semblent en meilleure santé aujourd'hui que lors de leur arrivée.
- Post facebook explicatif
- E. Piotelat, Cirque aux Ulis : catharis et évasion, 06/2023
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