En attendant la nuit (et le brouillard)

Chaque année, la même magie opère à la fin de l'été. Les étourneaux sont de retour. Tels des notes de musique sur des partitions, ils se posent où ils peuvent, sur des lignes. 


Tournés vers l'ouest, ils semblent être à l’affût du rayon vert, qui apparaît quand le soleil disparaît à l'horizon.   


Au loin, ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers...





La fuite monotone et sans hâte du temps...


La Lune se taisait comme vous vous taisiez
en regardant au loin, en regardant dehors...




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