L'œuvre majeure de Joseph Sigward est le roman "Le barbare et la jeune juive". Refusé par tous les éditeurs, il a été auto-édité en 1999. Je l'avais lu au siècle dernier, dans mon appartement lyonnais. Alors que l'auteur vient de nous quitter, les écrits restent. Avec une légère appréhension, j'ai ouvert le livre. S'est-il amélioré comme un vieux vin ?
Depuis sa parution, il y a u le 11 septembre, le 7 janvier, le 13 novembre. Nous ne sommes plus les mêmes. Mais trêve d'analyse, savourons quelques extraits.
"Ensuite, la mort lui semblant déjà tapie dans cette chambre, curieux, il restait aux aguets."
"Est-ce Bacon qui a dit que les humains craignent la mort comme les enfants ont peur d'aller dans le noir ?"
"Cum infirmor, tunc potens sum" (Quand je suis faible, c'est alors que je suis fort)
"Il n'est pas difficile de commencer ce qui est bien, mais de l'achever"
"Voulaient-ils ma bourse ou ma vie ou mes bourses et mon vît ? N'arrivant pas à trancher... J'ai tranché dans le vif !"
Chapitre 1 : Où Francis rencontre Sara à Beaubourg
"Ensuite, la mort lui semblant déjà tapie dans cette chambre, curieux, il restait aux aguets."
"Est-ce Bacon qui a dit que les humains craignent la mort comme les enfants ont peur d'aller dans le noir ?"
"Cum infirmor, tunc potens sum" (Quand je suis faible, c'est alors que je suis fort)
"Il n'est pas difficile de commencer ce qui est bien, mais de l'achever"
"Voulaient-ils ma bourse ou ma vie ou mes bourses et mon vît ? N'arrivant pas à trancher... J'ai tranché dans le vif !"
"C'est donc ça La mort, ne plus pouvoir communiquer. Être réduit à une bulle de savon qui file, file, file...."
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