A 19h, alors que les oiseaux gazouillaient, que les passants parlaient de snapchat, que les encombrants s'amoncelaient aux pieds des immeubles, je me suis rendue à la maison pour tous de Courdimanche, dans le but de rencontrer Najat Belkacem, actuelle ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Je suis arrivée vers 19h15, après avoir constaté que tous les candidats ne s'affichaient pas sur les panneaux des Ulis.
19h28 : Nous n'avions pas le droit de rentrer dans la salle, réservée semble-t-il aux militants PS.
La candidate PS nous accueille chaleureusement quelques instants plus tard.
19h42 : La salle comportait initialement une centaine de chaises (2 fois 7 rangées de 7 chaises). Quelques unes ont été rajoutées. Toujours pas de ministre... Derrière moi, une jeune dame de 67 ans discute de l'article de l'express, dans lequel figure le nom de la candidate PS, comme possible secrétaire d'état à l'enseignement supérieur, en remplacement de Geneviève Fiorasso.
Najat Belkacem est arrivée un peu avant 20h. Il y avait des gens debout, entre autres les collègues du collectif "Paris-Sud en lutte", qui ont déplié une banderole.
La candidate PS a grondé ces grands enfants en leur demandant "est-ce une façon d'accueillir" Najat Belkacem ?
Le problèmes de budgets, de postes, ont été évoqués.
La ministre a répondu en parlant des bâtiments prévus dans le cadre de l'université Paris-Saclay.
A 19h56, Jérôme Cauët a fait l'éloge de la réforme des rythmes scolaires à Marcoussis, en énumérant toutes les activités, comme la construction de doudous en maternelle.
La candidate PS a ensuite essentiellement parlé du collège, en mentionnant les 150 sorties financées par le département et le rôle que jouait l'Essonne en matière d'expérimentation. Elle a mentionné par exemple la numériclé et le livret "Questions d'ados" distribué aux élèves de 4e. Personnellement, je ne l'ai pas trouvé extraordinaire, mais j'avais souris en lisant "La puberté, c'est maintenant", qui n'est pas sans rappeler un certain slogan...
A 19h59, la candidate PS a déclaré "L'université me tient à cœur". Faut-il comprendre cela dans le contexte du départ de G. Fiorasso ? En tous cas, personnellement, ça me semblerait une excellente chose, au même niveau que que la nomination de Bertrand Monthubert, également évoqué par l'Express.
Najat Belkacem a parlé de retrouvailles en précisant "ce n'est pas n'importe quels candidats". Elle a salué la ténacité de la candidate locale, avec qui elle a conduit des combats nombreux pour l'égalité. "Il y a une espèce de supplément d'âme, de supplément de foi" a-t-elle ajouté. Le mode de scrutin actuel est dû au travail de la candidate PS au sein de la commission parité de l'assemblée nationale.
A 20h16, Najat Belkacem s'en est pris au FN, et à la peur engendrée "75 ans après Vichy"...
A 20h20, ce fut au tour du spectre de la droite d'apparaître. En refusant de construire des collèges publics dans certains départements, les élus répondraient aux parents "Vous n'avez qu'à mettre vos enfants dans le privé !"
A 20h22, place aux questions... dans le prochain billet...
Je suis arrivée vers 19h15, après avoir constaté que tous les candidats ne s'affichaient pas sur les panneaux des Ulis.
19h28 : Nous n'avions pas le droit de rentrer dans la salle, réservée semble-t-il aux militants PS.
La candidate PS nous accueille chaleureusement quelques instants plus tard.
19h42 : La salle comportait initialement une centaine de chaises (2 fois 7 rangées de 7 chaises). Quelques unes ont été rajoutées. Toujours pas de ministre... Derrière moi, une jeune dame de 67 ans discute de l'article de l'express, dans lequel figure le nom de la candidate PS, comme possible secrétaire d'état à l'enseignement supérieur, en remplacement de Geneviève Fiorasso.
Najat Belkacem est arrivée un peu avant 20h. Il y avait des gens debout, entre autres les collègues du collectif "Paris-Sud en lutte", qui ont déplié une banderole.
La candidate PS a grondé ces grands enfants en leur demandant "est-ce une façon d'accueillir" Najat Belkacem ?
Le problèmes de budgets, de postes, ont été évoqués.
La ministre a répondu en parlant des bâtiments prévus dans le cadre de l'université Paris-Saclay.
A 19h56, Jérôme Cauët a fait l'éloge de la réforme des rythmes scolaires à Marcoussis, en énumérant toutes les activités, comme la construction de doudous en maternelle.
La candidate PS a ensuite essentiellement parlé du collège, en mentionnant les 150 sorties financées par le département et le rôle que jouait l'Essonne en matière d'expérimentation. Elle a mentionné par exemple la numériclé et le livret "Questions d'ados" distribué aux élèves de 4e. Personnellement, je ne l'ai pas trouvé extraordinaire, mais j'avais souris en lisant "La puberté, c'est maintenant", qui n'est pas sans rappeler un certain slogan...
A 19h59, la candidate PS a déclaré "L'université me tient à cœur". Faut-il comprendre cela dans le contexte du départ de G. Fiorasso ? En tous cas, personnellement, ça me semblerait une excellente chose, au même niveau que que la nomination de Bertrand Monthubert, également évoqué par l'Express.
Najat Belkacem a parlé de retrouvailles en précisant "ce n'est pas n'importe quels candidats". Elle a salué la ténacité de la candidate locale, avec qui elle a conduit des combats nombreux pour l'égalité. "Il y a une espèce de supplément d'âme, de supplément de foi" a-t-elle ajouté. Le mode de scrutin actuel est dû au travail de la candidate PS au sein de la commission parité de l'assemblée nationale.
A 20h16, Najat Belkacem s'en est pris au FN, et à la peur engendrée "75 ans après Vichy"...
A 20h20, ce fut au tour du spectre de la droite d'apparaître. En refusant de construire des collèges publics dans certains départements, les élus répondraient aux parents "Vous n'avez qu'à mettre vos enfants dans le privé !"
A 20h22, place aux questions... dans le prochain billet...
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