Dans l'avion, on nous a demandé de remplir deux formulaires. L'un ne comportait que peu d'informations, l'autre était une déclaration. Apportions-nous des choses interdites ? Etant donné que j'avais un petit sachet de noix et un autre de noix de cajou pour grignoter, je me suis demandé si ça rentrait dans la rubrique "seeds/plants/fruits/flower/other planting material". Scientifiquement oui... Comme de toute façon mon niveau d'anglais et encore moins d'hindi n'etait ps suffisant pour expliquer de quoi il s'agissait, j'ai répondu par la négative.
L'avion a atteri avec une demi heure d'avance au terminal 3 de l'aéroport Indira Gandhi peu après 9h. Avant l'atterrissage, une animation nous a montré le chemin à suivre. Je m'attendais à une foule immense, des attentes pour les formalités douanières. Tout est allé très vite, et nous étions dans le hall à 9h45.
J'ai alors allumé mon téléphone portable. Avant de partir j'avais souscrit l'option appel internationnal de Free mobile pour 10€. A 10h01, j'ai reçu un sms "free vous accompagne en Inde" et rappelant les tarifs. Il restait à vérifier en pratique Ce que cela donnait.
Nous avions rendez-vous avec mon frére qui arrivait en voiture. Nous devions ensuite regagner l'hôtel, en nous séparant en deux groupes, l'un en taxi avec les grosses valises, l'autre en voiture. A cause des bouchons dans Delhi, Il avait du retard. Je n'ai pas eu de problème pour recevoir ses 9 sms, ou pour l'appeler trois fois. En revanche, pas moyen de lui envoyer un sms.
En Inde, il est interdit de photographier les aéroports. Une fois la douane passée, il n'y a pas grand chose à faire, si ce n'est boire un café ou voir le manège des taxis et des véhicules qui récupèrent des passagers (pick up only) sous l'oeil de la police. En pratique et en sortant du hall, il y a une voie pour les taxis qui s'arrêtent du côté droit et roulent à gauche. En la traversant, et en ayant l'air de touristes étrangers, on se fait forcément interpeler "taxi ?". Globalement, un certain ordre est respecté, chaque taxi est garé vers une borne numérotée.
Une fois la voie des taxis traversée, on arrive a une seconde voie destinée aux particuliers. En théorie, ils se garent à gauche en respectant un ordre correspondant à l'état indiqué sur la plaque d'immatriculation. Ils ne s'arrêtent que quelques instants, le temps que montent les personnes qu'ils sont venus chercher, et repartent sur la voie de droite censée être libre. En pratique, les véhicules commencent à se garer en double ou en triple file, et la circulation devient peu à peu impossible, un peu comme dans le jeu rush hours. Une voiture de police munie d'un haut parleur débarque alors et hurle les numéros des plaques d'immatriculation. Le chauffeur de la voiture concernée se déplace alors. En à peine une demi-heure, la circulation devient de nouveau possible.
Un parking comportant de nombreuses places libres est juste à côté de l'aéroport. Mon frére y a garé sa voiture et nous n'avons eu aucun problème pour nous retrouver dans le hall du terminal 3.
L'avion a atteri avec une demi heure d'avance au terminal 3 de l'aéroport Indira Gandhi peu après 9h. Avant l'atterrissage, une animation nous a montré le chemin à suivre. Je m'attendais à une foule immense, des attentes pour les formalités douanières. Tout est allé très vite, et nous étions dans le hall à 9h45.
J'ai alors allumé mon téléphone portable. Avant de partir j'avais souscrit l'option appel internationnal de Free mobile pour 10€. A 10h01, j'ai reçu un sms "free vous accompagne en Inde" et rappelant les tarifs. Il restait à vérifier en pratique Ce que cela donnait.
Nous avions rendez-vous avec mon frére qui arrivait en voiture. Nous devions ensuite regagner l'hôtel, en nous séparant en deux groupes, l'un en taxi avec les grosses valises, l'autre en voiture. A cause des bouchons dans Delhi, Il avait du retard. Je n'ai pas eu de problème pour recevoir ses 9 sms, ou pour l'appeler trois fois. En revanche, pas moyen de lui envoyer un sms.
En Inde, il est interdit de photographier les aéroports. Une fois la douane passée, il n'y a pas grand chose à faire, si ce n'est boire un café ou voir le manège des taxis et des véhicules qui récupèrent des passagers (pick up only) sous l'oeil de la police. En pratique et en sortant du hall, il y a une voie pour les taxis qui s'arrêtent du côté droit et roulent à gauche. En la traversant, et en ayant l'air de touristes étrangers, on se fait forcément interpeler "taxi ?". Globalement, un certain ordre est respecté, chaque taxi est garé vers une borne numérotée.
Une fois la voie des taxis traversée, on arrive a une seconde voie destinée aux particuliers. En théorie, ils se garent à gauche en respectant un ordre correspondant à l'état indiqué sur la plaque d'immatriculation. Ils ne s'arrêtent que quelques instants, le temps que montent les personnes qu'ils sont venus chercher, et repartent sur la voie de droite censée être libre. En pratique, les véhicules commencent à se garer en double ou en triple file, et la circulation devient peu à peu impossible, un peu comme dans le jeu rush hours. Une voiture de police munie d'un haut parleur débarque alors et hurle les numéros des plaques d'immatriculation. Le chauffeur de la voiture concernée se déplace alors. En à peine une demi-heure, la circulation devient de nouveau possible.
Un parking comportant de nombreuses places libres est juste à côté de l'aéroport. Mon frére y a garé sa voiture et nous n'avons eu aucun problème pour nous retrouver dans le hall du terminal 3.
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