Ce soir, ça ne sentait pas très bon dans l'ascenseur. Le quartier, que dis-je la ville serait envie d'extraterrestres ! Une fois ce constat fait, il semble urgent de voter pour madame Marhuenda qui telle Jeanne d'Arc va sauver les Ulis !
Après avoir combattu le racisme des cours d'école, qui se résume à "T'es pas comme moi, donc je ne te parle pas !", c'est aux adultes qu'il faut expliquer que -jusqu'à présent-, tous les ulissiens font partie de la même race, la race humaine.
Bon, puisque nous sommes dans la fiction, admettons que des rejetons extraterrestres envahissent la grande araignée et empêchent les enfants du quartier d'y jouer.
Que faire ?
Le problème s'est posé en juin 2013, où un jeune homo sapiens sapiens a été agressé par un extraterrestre qui ne l'avait jamais vu à ce jeu. Nous sommes allés voir les médiateurs inter-galactiques. Ceux-ci ont écouté les victimes et sont allés discuter avec les extraterrestres "C'est pas moi, c'est l'autre !". Quelques jours plus tard, tel super nanny, ils ont parlé aux parents des extraterrestres. Un vendredi à 16h, les terriens de tous les immeubles autour se sont donné rendez-vous à la grande araignée pour un goûter mémorable. Mme Sonia Dahou nous a dit qu'elle passerait volontiers, mais son emploi du temps l'en a empêché.
Si je prends le programme de mme Marhuenda, on va mettre des caméras de vidéo surveillance tout autour du jeu. Génial, on aura toutes les galipettes des extraterrestres ! Les pitreries des petits homo sapiens seront aussi enregistrées pour on ne sait quelle durée. La vie privée ? Elle n'a pas lieu d'être lorsque la sécurité de la planète est concernée. S'il y a une agression physique, les parents voudront voir les films. Mais pour cela, il faudra porter plainte au commissariat, obtenir une autorisation du juge pour voir ce qui s'est passé. Comme des mineurs sont concernés, la plainte sera sans suite mais les relations diplomatiques intersidérales en auront pris un sacré coup !
Après avoir combattu le racisme des cours d'école, qui se résume à "T'es pas comme moi, donc je ne te parle pas !", c'est aux adultes qu'il faut expliquer que -jusqu'à présent-, tous les ulissiens font partie de la même race, la race humaine.
Bon, puisque nous sommes dans la fiction, admettons que des rejetons extraterrestres envahissent la grande araignée et empêchent les enfants du quartier d'y jouer.
Que faire ?
- Mettre une étoile jaune qui signifie "interdit aux extraterrestres"
- Empêcher les enfants d'aller à ce jeu, vraiment mal fréquenté, puis constater qu'il n'y a que des extraterrestres et donc crier au complot orchestré par la mairie.
- Parler de Mandela aux enfants du quartier, ou de Thuram et les amener à ne pas être aussi bêtes que les extraterrestres, à ne pas rentrer dans le jeu de l'exclusion, tout en leur rappelant qu'il ne faut pas généraliser en leur donnant des exemples de gentils extraterrestres tolérants.
Le problème s'est posé en juin 2013, où un jeune homo sapiens sapiens a été agressé par un extraterrestre qui ne l'avait jamais vu à ce jeu. Nous sommes allés voir les médiateurs inter-galactiques. Ceux-ci ont écouté les victimes et sont allés discuter avec les extraterrestres "C'est pas moi, c'est l'autre !". Quelques jours plus tard, tel super nanny, ils ont parlé aux parents des extraterrestres. Un vendredi à 16h, les terriens de tous les immeubles autour se sont donné rendez-vous à la grande araignée pour un goûter mémorable. Mme Sonia Dahou nous a dit qu'elle passerait volontiers, mais son emploi du temps l'en a empêché.
Si je prends le programme de mme Marhuenda, on va mettre des caméras de vidéo surveillance tout autour du jeu. Génial, on aura toutes les galipettes des extraterrestres ! Les pitreries des petits homo sapiens seront aussi enregistrées pour on ne sait quelle durée. La vie privée ? Elle n'a pas lieu d'être lorsque la sécurité de la planète est concernée. S'il y a une agression physique, les parents voudront voir les films. Mais pour cela, il faudra porter plainte au commissariat, obtenir une autorisation du juge pour voir ce qui s'est passé. Comme des mineurs sont concernés, la plainte sera sans suite mais les relations diplomatiques intersidérales en auront pris un sacré coup !
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